Abolhassan Bani Sadr

Abolhassan Bani Sadr
ابوالحسن بنی‌صدر
Illustration.
Bani Sadr en 2010.
Fonctions
Président de la République islamique d'Iran

(1 an, 4 mois et 18 jours)
Élection 25 janvier 1980
Premier ministre Mohammad Ali Rajai
Guide suprême Rouhollah Khomeini
Prédécesseur Mohammad Reza Shah (indirectement, shah)
Successeur Mohammad Ali Rajai (indirectement)
Chef du Conseil de la révolution islamique

(5 mois et 13 jours)
Prédécesseur Mohammad Beheshti
Successeur Poste supprimé
Ministre des Affaires étrangères

(17 jours)
Prédécesseur Ebrahim Yazdi
Successeur Sadegh Ghotbzadeh
Ministre des Finances

(2 mois et 24 jours)
Prédécesseur Ali Ardalan (fa)
Successeur Reza Salimi
Membre de l'Assemblée des experts pour la constitution

(3 mois)
Circonscription Province de Téhéran
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Hamadan (Iran)
Date de décès (à 88 ans)
Lieu de décès Paris 13e (France)
Nationalité Iranienne
Parti politique Front national (avant 1980)
Bureau pour la coopération du peuple avec le président (1980–1981)
Conseil national de la résistance iranienne (1981–1983)
Sans étiquette (depuis 1981)
Père Nasrallah Bani Sadr (fa)
Fratrie Fathollah Bani Sadr (fa) (frère)
Conjoint Ozra Hosseini (fa)
Enfants 3
Diplômé de Nouvelle université de Paris
Site web banisadr.org

Signature de Abolhassan Bani Sadrابوالحسن بنی‌صدر

Abolhassan Bani Sadr
Présidents de la République islamique d'Iran

Abolhassan Bani Sadr (en persan : ابوالحسن بنی‌صدر), né le à Hamadan (Iran) et mort le à Paris (France), est un homme d'État iranien, président de la République islamique de à .

Après l'abolition de l'État impérial d'Iran de la dynastie Pahlavi, il est ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement provisoire de l'Iran (1979-1980).

Candidat indépendant à l'élection présidentielle de 1980, il est élu président de la République islamique avec 76,5 % des suffrages exprimés. Il est destitué l'année suivante par le Parlement.

Il vit par la suite en exil en France, où il participe à la fondation du Conseil national de la résistance iranienne. Il se consacre alors à l'écriture et critique le régime iranien, en particulier le guide suprême Ali Khamenei.