Affaire Jacqueline Sauvage | |
Titre | Affaire Jacqueline Sauvage |
---|---|
Fait reproché | Homicide |
Chefs d'accusation | Meurtre |
Pays | France |
Ville | La Selle-sur-le-Bied (Loiret) |
Nature de l'arme | Arme à feu |
Type d'arme | Fusil de chasse |
Date | |
Nombre de victimes | 1 : Norbert Marot |
Jugement | |
Statut | Affaire jugée : condamnée à 10 ans de réclusion en première instance puis en appel ; graciée et libérée le |
Tribunal | Cour d'assises du Loiret Cour d'assises d'appel du Loir-et-Cher |
Formation | Tribunal de l'application des peines de Melun Cour d'appel de Paris |
Date du jugement | (appel) |
Recours | (grâce présidentielle partielle accordée) (grâce présidentielle accordée) |
modifier |
L’affaire Jacqueline Sauvage est une affaire judiciaire française survenue en , à la suite du meurtre de Norbert Marot, abattu de trois coups de fusil dans le dos par son épouse Jacqueline Sauvage le .
Durant le procès, la défense repose sur l'affirmation de violences et abus sexuels subis par l'accusée et ses filles durant plusieurs années. La condamnation de Jacqueline Sauvage, en première instance puis en appel, à une peine de dix ans d'emprisonnement, suscite des réactions d'incompréhension, dont la médiatisation provoque des débats sur la notion de légitime défense préméditée dans le cas de violences conjugales.
Le , François Hollande accorde une grâce présidentielle partielle à Jacqueline Sauvage, mais la justice refuse sa demande de libération conditionnelle. Il lui accorde finalement une grâce présidentielle totale le .