Centre de rétention d'Arenc Marseille | |||||
Emplacement du hangar[b 1]. | |||||
Localisation | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d'Azur | ||||
Département | Bouches-du-Rhône | ||||
Localité | Marseille | ||||
Coordonnées | 43° 18′ 44″ nord, 5° 21′ 40″ est | ||||
Géolocalisation sur la carte : Marseille
Géolocalisation sur la carte : Bouches-du-Rhône
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Géolocalisation sur la carte : France
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Installations | |||||
Type | centre de rétention administrative ante litteram[1] | ||||
Capacité | 80 places | ||||
Fonctionnement | |||||
Date d'ouverture | 1963 | ||||
Date de fermeture | 2006 | ||||
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L'affaire de la prison clandestine d'Arenc éclate le à Marseille (France), lorsque l'avocat Sixte Ugolini dénonce dans une conférence de presse l'enlèvement par la police de son client Mohamed Chérif, un Marocain en situation régulière. Le grand public découvre alors l'existence d'un hangar désaffecté sur le port d'Arenc, que la préfecture utilise en secret et en dehors de tout cadre juridique depuis plus de dix ans pour enfermer des étrangers (principalement des Algériens) en attente d'expulsion. Il préfigure les centres de rétention administrative, qui ne seront légalisés qu'en .
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