Date | – |
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Lieu | Rueil-Malmaison, France |
Issue | Victoire allemande |
Empire allemand | République française |
Frédéric III de Prusse[réf. nécessaire] | Louis Jules Trochu |
610 hommes 173 tués (11 officiers) 437 blessés ou disparus (29 officiers) |
4 070 hommes 700 tués (48 officiers) 3 370 blessés ou disparus (141 officiers) |
Batailles
Coordonnées | 48° 52′ 40″ nord, 2° 10′ 53″ est | |
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La seconde bataille de Buzenval[1] ou bataille du mont Valérien se déroula le , pendant la guerre franco-allemande, sur le territoire des communes de Rueil-Malmaison, Garches et Saint-Cloud, alors en Seine-et-Oise. Les troupes assiégées dans Paris tentèrent une sortie en direction de Versailles, où Guillaume Ier (proclamé empereur la veille) avait établi ses quartiers généraux.
Succédant à la vaine tentative de Champigny un mois et demi plus tôt, cette seconde sortie, insuffisamment préparée et d'un intérêt stratégique discutable, est imaginée et conduite, dans un contexte politique de dissension, par le général Trochu, gouverneur militaire de Paris et président du gouvernement provisoire, pour « calmer » les ardeurs des Parisiens les plus bellicistes. Son échec exacerbe, au-delà de la défaite de la « République de 1870 », la division entre partisans d'une paix négociée, plutôt soutenus par la Province et l'Armée, et partisans de la « résistance à outrance », où se comptent une majorité de la Garde nationale.