Créateur | Space Sciences Laboratory et David P. Anderson (en) |
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Développé par | Dr. David P. Anderson[1] |
Première version | |
Dernière version | 8.0.2 ()[2] |
Dépôt | github.com/BOINC/boinc |
Assurance qualité | Intégration continue |
Écrit en | C++ |
Interface | WxWidgets |
Système d'exploitation | Linux, FreeBSD, Android, Microsoft Windows, macOS, Solaris, OS/2 et Raspberry Pi OS |
Environnement | Multiplate-forme |
Langues | Multilingue |
Type |
Middleware Calcul participatif Distributed computing software (d) Sciences participatives Grille informatique |
Licence | GNU LGPL |
Documentation | boinc.berkeley.eduview_html.php?sq=Google&lang=fr&q=User_manual |
Site web | boinc.berkeley.edu |
BOINC, acronyme de Berkeley Open Infrastructure for Network Computing (« infrastructure ouverte de Berkeley dédiée au calcul en réseau ») est une plate-forme de calcul distribué qui permet de gérer des projets de calcul sur la base du volontariat. Développée à l'origine pour le projet de recherche d'intelligence extraterrestre SETI@home par l'université de Californie à Berkeley, elle a été généralisée pour de nombreuses autres applications scientifiques. Le but de BOINC est de mettre à disposition des chercheurs la puissance de calcul de nombreux ordinateurs personnels dans le monde entier.
Pour l'utilisateur final, BOINC se présente sous la forme d'une application à installer sur son ordinateur. Cette application s'exécute (selon paramétrage) lorsque l'ordinateur est peu ou pas utilisé. Le temps de calcul ainsi récupéré est mis à disposition d'un des projets.
BOINC a une puissance totale moyenne de calcul d'environ 33,82 PFLOPS repartie sur environ 477 414 ordinateurs actifs au début de . Pour comparaison, le supercalculateur le plus puissant au début de 2016 est le Tianhe-2, hébergé en Chine, qui atteint une puissance de 33 860 TFLOPS (soit 33,86 PFLOPS).