Campagne d'Allemagne (1805)

Campagne d'Allemagne et d'Autriche
Description de cette image, également commentée ci-après
Informations générales
Date
Lieu Entre le Rhin et la Moravie
Issue

Victoire française décisive

Traité de Presbourg
Belligérants
Drapeau de l'Empire français Empire français

Drapeau de l'Espagne Espagne
Drapeau du Royaume de Bavière Royaume de Bavière
Drapeau du Royaume de Wurtemberg Royaume de Wurtemberg

Drapeau du Grand-duché de Bade Grand-duché de Bade
Drapeau de l'Autriche Empire d'Autriche

Drapeau de l'Empire russe Empire russe

Drapeau du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande
 Royaume de Suède
Drapeau du Royaume de Naples Royaume de Naples
 Royaume de Sicile
Commandants
Napoléon Ier
Michel Ney
Joachim Murat
Jean Lannes
Jean-Baptiste Jules Bernadotte
Auguste Marmont
Louis-Nicolas Davout
Jean-de-Dieu Soult
Pierre Augereau
Édouard Mortier
Karl Mack von Leiberich
Charles Louis d'Autriche
Mikhaïl Koutouzov
Ferdinand d'Autriche
Piotr Bagration
Franz von Weyrother
Jean-Baptiste d'Autriche
Alexandre Ostermann-Tolstoï
Forces en présence
190 000 hommes
210 canons
240 000 hommes
305 canons
Pertes
45 000 morts, blessés ou prisonniers 120 000 morts, 20 000 prisonniers

Troisième Coalition

Batailles

Batailles navales


Campagne d'Allemagne (1805) : opérations en Bavière - Autriche - Moravie


Campagne d'Italie (1805) : Opérations en Italie du Nord


Invasion de Naples (1806)


Traité de Presbourg

La campagne d'Allemagne et d'Autriche de 1805, aussi appelée campagne d'Autriche de 1805, est l'une des principales campagnes de Napoléon Ier et se déroula pendant la guerre de la Troisième Coalition. Napoléon abandonne ses préparatifs de débarquement en Angleterre au camp de Boulogne pour se tourner contre ses deux grands adversaires continentaux, l'Autriche et la Russie. Il encercle et capture une armée autrichienne lors de la campagne d'Ulm, entre dans Vienne et va au-devant des forces réunies austro-russes qu'il bat à la bataille d'Austerlitz, ce qui lui permet de dicter ses conditions de paix à l'Autriche à la paix de Presbourg.