La capitulation du Japon, intervenue officiellement le avec la signature des actes de capitulation du Japon à Tokyo, met officiellement un terme aux hostilités de la Seconde Guerre mondiale. D'abord favorable à la poursuite du conflit et des négociations avec l'URSS, le gouvernement japonais est forcé par la déclaration de guerre soviétique et les bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki d'accepter la reddition et les conditions décidées par les Alliés à la conférence de Potsdam.
Le , une allocution radiophonique de l'empereur du Japon Hirohito annonça que le pays acceptait les termes de la conférence de Potsdam, mettant ainsi fin à la guerre du Pacifique, et donc à la Seconde Guerre mondiale. Les conséquences de la défaite pour le Japon sont notamment le changement de régime politique, le désarmement, la perte de ses conquêtes et l'occupation de son territoire ; toutefois, l'institution impériale est épargnée.