Aussi, le mot « clochard »[3] a tendance à tomber en désuétude[réf. nécessaire] à cause de sa connotation péjorative.
↑Dans son ouvrage Les naufragés, Patrick Declerck qui affirme : « J'ai passé un peu plus de quinze ans aux clochards de Paris » (Declerck 2003, p. 11), en arrive à conclure sur le fait que la « grande désocialisation est avant tout, une pathologie du lien. Du lien à soi-même, comme du lien aux autres et au monde » (Declerck 2003, p. 365)
↑Dans sa critiques de livre intitulée “ Les naufragés. Avec les clochards de Paris ” , de Patrick Declerck publié sur cairn.info, Dominique Bourdin écrit ceci : « Les clochards mendient quelques heures par jour. L’alcool, la malnutrition et la fatigue condamnent à vivre un état chronique de faiblesse et d’épuisement. »