: le pseudo-concile de Carthage IV appellation erronée d’une collection gauloise composée dans la région d'Arles, entre 442 et 506, les Statuta Ecclesiae Antiqua[4].
: demande la destruction des idoles et l'interdiction des fêtes païennes[3].
535 : l'évêque de Carthage Reparatus convoque un concile qui réunit 217 évêques dans la basilica Fausti pour s'occuper de la réorganisation de l'Église d'Afrique[8].
↑Pierre-Yves Fux, Jean-Michel Roessli, Otto Wermelinger, Michael von Graffenried, Augustinus Afer : saint Augustin, africanité et universalité : actes du colloque international, Alger-Annaba, 1-7 avril 2001, Otto Wermelinger, vol. 2, Saint-Paul, , 660 p. (ISBN978-2-8271-0943-2, présentation en ligne)
↑Jean Gaudemet, chap. 3 « La Bible dans les conciles IVe – VIIe siècle », dans Formation du droit canonique et gouvernement de l’Église de l’Antiquité à l’âge classique, Presses universitaires de Strasbourg, coll. « Société, droit et religion », (ISBN979-10-344-0448-3), p. 75
↑Melchior Édouard Mombili Thumaini, L'aspect d'autonomie et de communion dans la praxis africaine des recours à Rome (IIIe : Ve siècles) : essai d'interprétation du comportement ambivalent de l'épiscopat africain, Gregorian&Biblical BookShop, , 375 p. (ISBN978-88-7652-883-5, présentation en ligne)
↑Jean-Marie Salamito, Les virtuoses et la multitude : aspects sociaux de la controverse entre Augustin et les pélagiens, Éditions Jérôme Millon, , 350 p. (ISBN978-2-84137-168-6, présentation en ligne)
↑Karl Joseph von Hefele, Histoire des conciles d'après les documents originaux : 451-680, Adrien Le Clère et Cie, libraires-éditeurs, Paris, 1869, pp. 363-365 (lire en ligne).