Date | au |
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Lieu | Québec, Canada |
Résultat | Mort du ministre du Travail Pierre Laporte |
Enlèvement du diplomate britannique James Richard Cross par la cellule Libération du FLQ | |
Lecture du Manifeste du FLQ à la télévision de Radio-Canada | |
Enlèvement du ministre du Travail Pierre Laporte par la cellule Chénier du FLQ | |
Des soldats canadiens sont dépêchés à Ottawa. | |
Mise en place de la Loi sur les mesures de guerre par le gouvernement du Canada. 457 arrestations |
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Décès du ministre Pierre Laporte | |
James Richard Cross est libéré. La cellule Libération du FLQ s'exile pour Cuba. |
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Arrestation de la cellule Chénier du FLQ par la police. |
La crise d'Octobre[note 1] recoupe une série d'événements politiques et sociaux liés à l'enlèvement de l'attaché commercial du Royaume-Uni James Richard Cross et l'enlèvement et le meurtre du ministre provincial du Travail Pierre Laporte par le Front de libération du Québec qui ont lieu en dans la province de Québec, au Canada.
Débutant le avec l'enlèvement, à sa maison de Westmount, de l'attaché commercial du consulat général du Royaume-Uni à Montréal, James Richard Cross, par la cellule Libération du Front de libération du Québec (FLQ)[1], la crise d'Octobre est marquée également par la lecture du Manifeste du FLQ à la télévision de Radio-Canada (8 octobre), par l'enlèvement du ministre provincial du Travail Pierre Laporte par la cellule Chénier (10 octobre)[2], par la mise en place de la Loi sur les mesures de guerre (15-16 octobre), par la découverte du corps de Pierre Laporte le à Saint-Hubert dans le coffre d'une voiture, par la libération de James Richard Cross[3] le , puis par l'arrestation des trois derniers membres de la cellule Chénier le .
La crise d'Octobre vient affecter les élections municipales de 1970 à Montréal.
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