Naissance | |
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Décès | |
Sépulture | |
Nom de naissance |
Wilhelm Albert Włodzimierz Apollinaris de Wąż-Kostrowicky |
Pseudonyme |
Fernand Laviet |
Nationalité |
française (à partir du ) |
Domiciles | |
Formation |
Colegio Niño Jesús de Praga (en) (à partir de ) |
Activités | |
Période d'activité |
À partir de |
Conjoint |
Jaqueline Kolb (d) |
Membre de | |
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Grade militaire | |
Conflit | |
Mouvement | |
Instrument | |
Personne liée |
René Dalize (camarade de classe) |
Genre artistique | |
Lieu de détention | |
Distinction | |
Archives conservées par |
Guillaume Albert Vladimir Alexandre Apollinaire de Kostrowitzky[3], dit Guillaume Apollinaire, est un poète et écrivain français, critique et théoricien d'art qui serait[Note 1] né sujet polonais de l'Empire russe, le à Rome. Il meurt à Paris le de la grippe espagnole, mais est déclaré mort pour la France[4] en raison de son engagement durant la guerre.
Considéré comme l'un des poètes français les plus importants du XXe siècle[5], il est l'auteur de poèmes tels Zone, La Chanson du mal-aimé, Le Pont Mirabeau, ayant fait l'objet de plusieurs adaptations en chanson au cours du siècle. La part érotique de son œuvre – dont principalement trois romans (dont un perdu), de nombreux poèmes et des introductions à des auteurs licencieux – est également passée à la postérité. Il expérimenta un temps la pratique du calligramme (terme de son invention, quoiqu'il ne soit pas l'inventeur du genre lui-même, désignant des poèmes écrits en forme de dessins et non de forme classique en vers et strophes). Il fut le chantre de nombreuses avant-gardes artistiques de son temps, notamment du cubisme et de l'orphisme, à la gestation desquelles il participa en tant que poète et théoricien de l'Esprit nouveau[Note 2]. Précurseur du surréalisme, il en forgea le nom dans son drame Les Mamelles de Tirésias (1917).
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