Henri Frenay | |
Henri Frenay pris en photo par Maurice Frink (1941-1944). | |
Fonctions | |
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Ministre des Prisonniers, Déportés et Réfugiés | |
– (1 an, 2 mois et 11 jours) |
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Chef de l'État | Charles de Gaulle |
Gouvernement | De Gaulle I |
Prédécesseur | Lui-même (commissaire) |
Successeur | Laurent Casanova (indirectement, Anciens Combattants et Victimes de guerre) |
Commissaire aux Prisonniers et Déportés | |
– (10 mois et 1 jour) |
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Chef de l'État | Charles de Gaulle |
Gouvernement | CFLN 2 GPRF |
Prédécesseur | André Diethelm (Finances et Pensions) |
Successeur | Lui-même (ministre) |
Biographie | |
Nom de naissance | Henri Auguste Antoine Frenay |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | 3e arrondissement de Lyon |
Date de décès | (à 82 ans) |
Lieu de décès | Porto-Vecchio (Corse-du-Sud) |
Parti politique | SFIO UDSR |
Conjoints | Berty Albrecht Chilina Ciosi |
Pseudonymes | Henri Francen, Morin, Molin, Nef, Lefèvre, Charvet |
Diplômé de | Lycée Ampère École spéciale militaire de Saint-Cyr (1924-1926) |
Profession | Militaire Homme d'affaires |
Distinctions | Grand-croix de la Légion d'honneur Compagnon de la Libération Grand-croix de l'ordre national du Mérite Croix de guerre 1939-1945 Médaille de la Résistance |
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Henri Frenay Sandoval, dit Henri Frenay, né le à Lyon et mort le à Porto-Vecchio en Corse-du-Sud, est un résistant et homme politique français.
Avec Berty Albrecht, il fonde « Combat », un mouvement de résistance regroupant une pluralité de tendances politiques à l'exception des mouvances radicales et procommunistes, qu'il rendait responsables de la défaite de 1940[1],[2]. Il est fait compagnon de la Libération en 1943. À la Libération, il est commissaire puis ministre des Prisonniers, des Déportés et des Réfugiés.