Naissance | |
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Décès | |
Sépulture | |
Nom de naissance |
Henry Georges Coston |
Pseudonymes |
L’Archiviste Jérôme, Georges Virebeau, Saint-Pastour, Gygès, Diogène |
Nationalité | |
Activités | |
Conjoint | |
Enfant |
Micheline Vallée (d) |
Parti politique |
Action française (jusqu'en ) |
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Membre de |
Association des amis de Robert Brasillach (d) |
Distinction |
Henri Coston, dit Henry Coston, est un journaliste, éditeur et essayiste français collaborationniste et antisémite, né à Paris (15e arrondissement) le et mort à Caen le [1].
Pendant l'entre-deux-guerres, il se fait connaître en tant que journaliste et militant d'extrême droite, antisémite et antimaçon. Collaborationniste durant l'occupation allemande, il est condamné à la Libération. Après sa sortie de prison, il reprend sa carrière de journaliste et d'éditeur, qu'il mène jusqu'à la fin de sa vie en se spécialisant dans l'étude de la politique française et des réseaux d'influence : cela lui vaut d'être considéré, dans une partie des milieux d'extrême droite, comme un auteur de référence. Il a notamment publié un Dictionnaire de la politique française en cinq volumes. Son épouse Gilberte Borie a géré La Librairie française.