Naissance | |
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Nationalités | |
Domiciles | |
Formation | |
Activités | |
Père |
Jean Jacques Dunant (d) |
Mère |
Anne Antoinette Colladon (d) |
Fratrie |
Pierre-Louis Dunant (d) |
A travaillé pour | |
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Distinctions |
Prix Nobel de la paix () Liste détaillée Nichan Iftikhar () Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare () Ordre du Lion de Zaeringen () Ordre de Vasa () Ordre royal d'Albert le Valeureux Roi de Saxonie () Ordre de Louis Ier () Chevalier de la Légion d'honneur () Ordre du Christ () Ordre de Frédéric () Ordre de la Couronne (Prusse) () Ordre du Sauveur () Prix Nobel de la paix () |
Un souvenir de Solférino, Notice sur la régence de Tunis (d) |
Henry Dunant, de son prénom de naissance Jean-Henri[1],[Note 1], né le à Genève et mort le à Heiden, est un homme d'affaires et humaniste suisse, considéré comme le fondateur du mouvement de la Croix-Rouge internationale. Il est naturalisé français en [2],[3],[4].
Pendant un voyage d'affaires en , il se trouve à proximité de la ville italienne de Solférino et découvre les dégâts humains de la bataille qui s’y est déroulée. À partir de cette expérience, il écrit un livre intitulé Un souvenir de Solférino qu'il publie en 1862. Une année plus tard, il participe à Genève à la fondation du Comité international de secours aux militaires blessés, désigné dès 1876 sous le nom de Comité international de la Croix-Rouge. La première convention de Genève est ratifiée en 1864 et se réfère largement à ses propositions. Il obtient avec Frédéric Passy le premier prix Nobel de la paix en 1901.
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