Ne doit pas être confondu avec Jeanne de Constantinople.
Jeanne de Flandre
Jeanne de Flandre parvient à quitter Hennebont durant le siège de la ville en 1342.
Enluminure ornant un manuscrit du Recueil des Croniques et Anchiennes Istories de la Grant Bretaigne, à présent nommé Engleterre de Jean de Wavrin, Paris, BnF, département des manuscrits, ms. Français 76, fo 61 ro, XVe siècle.
Enluminure ornant un manuscrit du Recueil des Croniques et Anchiennes Istories de la Grant Bretaigne, à présent nommé Engleterre de Jean de Wavrin, Paris, BnF, département des manuscrits, ms. Français 76, fo 61 ro, XVe siècle.
Titre
–
(4 ans, 4 mois et 27 jours)
| Prédécesseur | Jeanne de Savoie |
|---|---|
| Successeur | Marie d'Angleterre |
| Dynastie | Maison de Dampierre |
|---|---|
| Naissance | c. 1295 |
| Décès |
Tickhill (Royaume d'Angleterre) |
| Père | Louis Ier de Nevers |
| Mère | Jeanne de Rethel |
| Conjoint | Jean de Montfort |
| Enfants |
Jean IV de Bretagne  Jeanne de Bretagne |
Jeanne de Flandre (1295 - 1374), dite Jeanne la Flamme, est l'épouse de Jean de Montfort, prétendant au duché de Bretagne lors de la guerre de Succession de Bretagne.
Elle a continué la lutte de son mari lors de la captivité de ce dernier, et doit son surnom à un incendie provoqué lors du siège d'Hennebont. Par la suite, réfugiée en Angleterre, elle est éloignée de Londres par le roi Édouard III et mise sous la garde du connétable du château de Tickhill.