Professeur |
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Naissance | |
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Décès | |
Sépulture |
Cimetière du Père-Lachaise (depuis le ), Hyères ( - |
Nationalité | |
Domicile |
Nantes (- |
Formation | |
Activité | |
Période d'activité |
- |
Rédacteur à | |
Père |
Jean-François Furcy-Michelet (d) |
Conjoints |
Pauline Rousseau (d) (de à ) Athénaïs Michelet (de à ) |
Enfants |
A travaillé pour |
Collège de France ( - Archives nationales ( - École normale supérieure (à partir du ) Lycée Jacques-Decour (à partir du ) |
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Idéologie | |
Membre de | |
Mouvement | |
Maîtres | |
Influencé par | |
Distinctions |
Introduction à l'Histoire universelle (d) (), Histoire de France (d) (- |
Jules Michelet, né le 5 fructidor an VI () à Paris 6e et mort le à Hyères, est un historien français.
Libéral et anticlérical, il est considéré comme l'un des grands historiens du XIXe siècle, le premier et le plus grand des historiens nationalistes, romantiques et libéraux[1], l’un des « plus grands créateurs de l’âge romantique », selon Paul Bénichou[2], bien qu'aujourd'hui controversé, notamment pour avoir donné naissance à travers ses ouvrages historiques à une grande partie du « roman national[a] », républicain et partisan, remis en cause par le développement historiographique de la fin du XXe siècle[3]. Il a également écrit différents essais et ouvrages de mœurs, dont certains lui valent des ennuis avec l'Église et le pouvoir politique. Parmi ses œuvres les plus célèbres de l'époque, Histoire de France, qui sera suivie d'Histoire de la Révolution[4].
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