Ligne nouvelle Paris - Normandie | ||
Carte de la ligne | ||
Pays | France | |
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Villes desservies | Cherbourg-en-Cotentin, Caen, Le Havre, Rouen, Mantes-la-Jolie, Paris | |
Caractéristiques techniques | ||
Longueur | Longueur exacte indéterminée à ce jour (études de tracé en cours) Section Nanterre - Mantes-la-Jolie : environ 40 km. Section Rouen-Barentin : environ 16 km |
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Vitesse maximale commerciale |
200/250 km/h | |
Écartement | standard (1,435 m) | |
Électrification | 25 kV – 50 Hz | |
Pente maximale | 35 ‰ | |
Nombre de voies | Double voie |
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Signalisation | Non spécifié : possiblement ETCS | |
Trafic | ||
Propriétaire | SNCF Réseau | |
Exploitant(s) | SNCF | |
Trafic | TER Normandie, TGV inOui | |
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La ligne nouvelle Paris - Normandie (LNPN) est un projet de ligne ferroviaire nouvelle entre la Normandie et l'Île-de-France, conçue pour améliorer les déplacements des voyageurs et du fret dans les deux régions. D'abord envisagé sous la forme d'une ligne à grande vitesse (LGV), le projet est remanié à la suite du débat public, qui s'est tenu du au . Prévoyant, désormais, la réalisation d'une ligne apte à une vitesse maximale de 250 km/h, conçue pour la circulation des trains de grandes lignes (Omnéo premium) et des TGV mais également des trains régionaux.
Le projet devrait être réalisé en plusieurs tronçons, qui ont été examinés dans le cadre d'une concertation publique qui s'est ouverte le et s'est achevée le , avec un outil cartographique dédié : carticipe[1]. La concertation a notamment permis de recueillir les avis du public sur les tronçons prioritaires, à savoir : un tronçon Paris – Mantes, un tronçon Mantes – Évreux et un tronçon Rouen – Yvetot[2], avec la construction d'une nouvelle gare à Rouen[3].
Une décision ministérielle qualifie en 2020 de prioritaire les sections Paris – Mantes et Rouen – viaduc de Barentin, repoussant les sections Barentin – Yvetot et Mantes – Évreux à une date de réalisation plus lointaine[4].
Au milieu de l'année 2024, les études préalables sont toujours en cours accompagnées d'une concertation portant sur les nouvelles sections prioritaires. L'enquête publique ne devrait débuter qu'en 2025[5].