Vendu à près de deux millions d'exemplaires dans le monde[7], l'album est certifié disque de platine aux États-Unis[8] et permet aux Clash de sortir du microcosme punk[9].
↑(en) Jeremy Simmonds, The Encyclopedia of Dead Rock Stars: Heroin, Handguns, and Ham Sandwiches, Chicago Review Press, (ISBN1556527543 et 9781556527548), p. 486, « The best Clash record — and to many, one of the best rock albums of all time —
was 1979's London Calling (1980, US). »
↑Clinton Heylin, Babylon’s Burning - Du Punk au Grunge, Au Diable Vauvert, (ISBN284626130X et 9782846261302), p. 537, « Cet album, qui offrait une pléthore de styles, avait plus en commun avec les 101ers qu'avec quoi que ce soit que Rhodes aurait pu tolérer. »
↑(fr) Pascal Dupont, « The Clash », sur L'Express, (consulté le ) : « « Or, il était clair que le mouvement punk ne menait nulle part. Dans les kiosques, on vendait des cartes postales montrant des crêtes rouges sur King's Road, comme une tribu en voie d'extinction. On ne voulait pas finir en carte postale. » »
↑(en) « 8) London Calling », classement des 500 plus grands albums de tous les temps, sur Rollingstone.com, (consulté le )