Michel Audiard

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Michel Audiard

Michel Audiard en 1952, photo d'identité (Sacem).

Biographie

Naissance	15 mai 1920 14e arrondissement de Paris
Décès	28 juillet 1985 (à 65 ans) Dourdan
Sépulture	Cimetière de Montrouge
Nom de naissance	Paul Michel Audiard
Surnom	G. C. Almidan
Nationalité	française
Activités	Journaliste, écrivain, acteur, dialoguiste, réalisateur de cinéma, scénariste, réalisateur
Période d'activité	1949-1985
Enfants	François Audiard (d) Jacques Audiard

Autres informations

Distinctions	Liste détaillée Prix Courteline (1974) Chevalier de la Légion d'honneur‎ (1976) Prix des Quatre jurys (1978) Prix Jean-Le-Duc (1981) César du meilleur scénario original ou adaptation (1982)

Œuvres principales

Les Tontons flingueurs (1963), Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais… elle cause ! (1970), Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages (1968), Comment réussir quand on est con et pleurnichard (1974), Garde à vue (1981)

Sépulture de Michel Audiard au cimetière de Montrouge.

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Michel Audiard, né le 15 mai 1920 à Paris 14^e et mort le 28 juillet 1985 à Dourdan (Essonne), est un dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse^[1].

S'inspirant de la gouaille du peuple parisien, les dialogues de Michel Audiard constituent l'un des meilleurs témoignages de l'irrévérence détachée propre aux années 1960. Parfois qualifié d'anarchiste de droite^[2], un des seuls regrets qu'on lui connaisse^[3] est de ne pas avoir eu le temps d'adapter à l'écran le Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline.

Il est le père du scénariste et réalisateur Jacques Audiard^[4].