Le terme « pro-vie », utilisé par les membres du mouvement, provient du choix de préférer la vie à la mort : l’avortement volontaire comme l’euthanasie sont ainsi vus comme des actes s’opposant à la vie. Les tenants du mouvement pro-choix préfèrent quant à eux employer le terme « anti-avortement »[3] ou, de manière plus explicitement critique, « anti-choix »[4] en mettant l'accent sur les modalités d’exécution de l'avortement (choisi ou imposé)[5],[6].
↑Caroline Jacquet, Geneviève Pagé et Magaly Pirotte, « Continuités et ruptures dans le mouvement féministe québécois francophone pour des droits sexuels et reproductifs », Nouvelles Questions féministes, vol. 36, no 2, , p. 16-33 (ISSN0248-4951, lire en ligne, consulté le ).
↑« Retrouver l’élan du féminisme », Le Monde diplomatique, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Argentine : les députés votent la légalisation de l’avortement », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).