Surnom |
The rat L'ordinateur |
---|---|
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Vienne (Autriche) |
Date de décès | |
Lieu de décès | Zurich (Suisse) |
Nationalité | Autrichienne |
Années d'activité |
1971-1979 1982-1985 |
---|---|
Qualité | Pilote automobile |
Années | Écurie | C. (V.) |
---|---|---|
1971-1972 | March | 13 (0) |
1973 | BRM | 14 (0) |
1974-1977 | Ferrari | 57 (15) |
1978-1979 | Brabham | 29 (2) |
1982-1985 | McLaren | 58 (8) |
Nombre de courses | 171 |
---|---|
Pole positions | 24 |
Podiums | 54 |
Victoires | 25 |
Champion du monde | 1975, 1977 et 1984 |
Temple international de la renommée du sport automobile 1993
Andreas Nikolaus Lauda dit Niki Lauda, né le à Vienne en Autriche et mort le à Zurich[1],[2] en Suisse, est un pilote de course automobile, entrepreneur dans l'aviation commerciale et dirigeant sportif autrichien.
Il court notamment en Formule 1 de 1971 à 1979, puis de 1982 à 1985, obtient 25 victoires[3] et remporte à trois reprises le titre de champion du monde des pilotes de Formule 1 (1975, 1977 chez Ferrari et 1984 chez McLaren).
Le , lors du Grand Prix d'Allemagne sur le Nürburgring, il est victime d'un grave accident au volant de la Ferrari 312 T2. Coincé dans la carlingue détruite qui prend feu, il est brûlé au visage et défiguré. Ses poumons sont particulièrement touchés. Contre toute attente, il parvient à reprendre le volant six semaines seulement après ce drame ; cette saison 1976 où il lutte pour le titre mondial face à James Hunt est relatée dans le film Rush sorti en 2013. Il gagne son deuxième titre mondial l'année suivante, prend une première retraite sportive en 1979 et revient en Formule 1 trois ans plus tard, chez McLaren.
Moins d'un an après avoir battu son coéquipier Alain Prost d'un demi-point pour remporter son troisième titre mondial en 1984, Niki Lauda se retire définitivement. Il développe alors la compagnie aérienne Lauda Air, qu'il avait fondée en 1978, et la quitte en 2000. Il revient dans le monde de la F1 de 1992 à 1995, en tant que consultant pour Ferrari, puis en tant que commentateur pour les télévisions allemandes et autrichiennes à compter de 1996. Il prend, de 2000 à 2002, la direction de l'écurie Jaguar Racing, puis fonde en 2003 une nouvelle compagnie aérienne, flyNiki qu'il revend en 2011. À partir de 2012, retourné à plein temps dans l'univers des Grands Prix en tant que président non-exécutif de l'écurie Mercedes, décisif dans le recrutement de Lewis Hamilton en 2013, il voit son équipe remporter les titres de champion du monde pilotes et constructeurs en 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
Victime d'une infection pulmonaire alors qu'il est en vacances en , il ne réapparaît plus sur les circuits. Sa santé se dégrade jusqu'à sa mort le à l'âge de 70 ans[4].
<ref>
incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées automobile-sportive.com