Fabricant |
Ouya Inc. |
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Type | |
Génération |
Date de sortie | |
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Fin de production | |
Système d'exploitation | |
Processeur | |
Média | |
Contrôleurs |
Unités vendues |
200 000 |
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La Ouya est une microconsole de jeux vidéo. Le projet de sa conception est annoncé pour la première fois le [2],[3],[4],[5],[6]. Financée à l'aide du financement participatif, elle est disponible à partir du mois de [7]. Elle est vendue 99 $ aux États-Unis et environ 129 € en Europe.
Contrairement à la PlayStation 4 de Sony et la Xbox One de Microsoft, les deux consoles proposant des jeux payants, elle ne propose que des jeux free to play, c'est-à-dire dont l'accessibilité est gratuite, même si certaines parties du contenu peuvent être payantes. La fourniture d'une adresse électronique et d'un numéro de carte bancaire sont d'ailleurs obligatoires lors du premier démarrage.
De plus, elle utilise le système d'exploitation Android, qui est open source, pour permettre aux développeurs d'avoir accès à cette plateforme facilement. Un kit de développement est fourni avec elle, sans frais pour l'acquérir ou pour publier un jeu. Un pad possédant les boutons classiques et les sticks analogiques est également livré avec[8].
Parmi les personnes responsables de ce projet, on trouve Julie Uhrman, l'ancienne chef de la rubrique d'IGN dédiée à la distribution numérique ainsi que le designer Yves Béhar, Muffi Ghadiali, ayant contribué à la création du Kindle d'Amazon[9] et Ed Fries, responsable du développement de jeux de la première Xbox.
À la suite d'une annonce le de Razer qui détient les droits de la console, la Ouya, dont la production avait été arrêtée dès , soit deux ans après sa sortie, voit sa boutique en ligne de jeux vidéo (principalement indépendants) fermer le , clôturant son exploitation[10].