La pique est dans une corrida, l’arme du picador. Elle est constituée d'une hampe (vara en espagnol) en bois de hêtre de 2,60 mètres de long environ et de 4 cm de diamètre, terminée par une pointe d'acier, la puya, une pyramide triangulaire de 2,9 cm de long et d'une largeur de 2 cm à la base de chaque face. Une garde transversale d'acier, la cruceta, parfois orthographiée cruzeta selon le Dictionnaire Larousse [note 1], a pour but d'empêcher la puya de pénétrer trop profondément dans le corps du taureau, elle est obligatoire depuis 1962 [1]. L’extrémité du manche se nomme le regatón. La pique désigne également l’action de piquer le taureau.
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