Pluton | |
Lignes approximatives du Pluton | |
Type | Mouilleur de mines |
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Histoire | |
A servi dans | Marine nationale |
Chantier naval | Arsenal de Lorient |
Quille posée | [1] |
Lancement | |
Armé | |
Statut | Coulé par l'explosion accidentelle de ses propres mines le |
Équipage | |
Commandant | Cadart (1934-1935) |
Équipage | 397 hommes (dont 18 officiers) puis 424 hommes[n 1] |
Caractéristiques techniques | |
Longueur | 152,5 m |
Maître-bau | 15,5 m |
Tirant d'eau | 5,18 m |
Déplacement | 4 850 t |
À pleine charge | 6 600 t |
Propulsion | 4 chaudières au mazout 2 turbines à vapeur Breguet |
Puissance | 57 000 ch |
Vitesse | 30 nœuds (56 km/h) |
Caractéristiques militaires | |
Armement | 4 canons de 138 mm 10 canons AA de 37 mm 220 à 270 mines |
Rayon d'action | 4 510 milles marins (8 400 km) à 14 nœuds (26 km/h) |
Pavillon | France |
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Le Pluton est un croiseur mouilleur de mines de la Marine française mis sur cale en 1928 par l'arsenal de Lorient. Il est aussi capable d'embarquer un millier d'hommes, dans le rôle de transport de troupes rapide. Peu après sa mise en service, il est modifié et devient un navire-école de canonnage, remplaçant le vieillissant Gueydon.
Peu avant le début de la Seconde Guerre mondiale, il revient à son rôle d'origine et la plupart des équipements d'instruction au tir sont débarqués. Au début de la guerre, il est alors envoyé à Casablanca pour y mouiller un champ de mines défensif en face du port. Le , lors d'une mauvaise manipulation, une mine explose, provoquant la mise à feu des autres mines du bord qui détruisent le bâtiment, tuant environ 200 marins.
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