Stay-behind

Réseaux Stay-Behind
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Idéologie Occidentalisme
Atlantisme
Anticommunisme
Objectifs Lutte contre les soviétiques si ceux-ci devaient envahir l'Occident.
Lancement d'attaques subversive pour durcir les régimes d'Europe de l'ouest.
Statut inactif
Fondation
Actions
Mode opératoire Subversion
Stratégie de la tension
Zone d'opération Europe de l'ouest
Organisation
Groupe relié Propaganda Due
Central Intelligence Agency
Guerre froide

Les cellules stay-behind (en anglais, « restez derrière ») sont des réseaux clandestins coordonnés par l'OTAN pendant la guerre froide. Implantées dans seize pays d'Europe de l'Ouest, ces cellules visent à combattre une éventuelle occupation par le bloc de l'Est en se tenant prêtes à être activées en cas d'invasion par les forces du pacte de Varsovie. La plus célèbre de ces cellules et la première à avoir fait l'objet de révélations est le réseau italien Gladio (« Glaive » en italien).

Stay-behind fait aussi référence à une tactique militaire consistant à laisser des soldats spécialement entraînés se laisser dépasser par l'ennemi afin de conduire des opérations de renseignement, de surveillance, d'acquisition d'objectif et de reconnaissance, souvent à partir de caches pré-installées[1].

  1. Sinai 2000, p. 683-684.