Naissance | |
---|---|
Décès |
(à 60 ans) Petrópolis |
Sépulture | |
Nationalité | |
Domicile |
Salzbourg (jusqu'au XXe siècle) |
Formation | |
Activités | |
Période d'activité |
- |
Père |
Moritz Zweig (d) |
Mère |
Ida Zweig (d) |
Conjoints |
Friderike Maria Zweig Lotte Zweig (d) |
Directeur de thèse |
Friedrich Jodl (en) |
---|---|
Genre artistique | |
Influencé par | |
Distinction | |
Archives conservées par |
Stefan Zweig (/ˈʃtɛ.fan t͡svaɪ̯k/[3]), né le à Vienne en Autriche-Hongrie et mort le [4] à Petrópolis au Brésil, est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien.
Ami de Sigmund Freud, Arthur Schnitzler, Romain Rolland, Richard Strauss, Émile Verhaeren, Stefan Zweig a fait partie de l'intelligentsia viennoise. Il quitte son pays natal en 1934, en raison de la montée du nazisme et de ses origines juives pour se réfugier à Londres, puis au Brésil où il se suicidera. Son œuvre est constituée essentiellement de biographies (Joseph Fouché, Marie-Antoinette, Marie Stuart), mais aussi de romans et de nouvelles (Amok, La Pitié dangereuse, La Confusion des sentiments, Le Joueur d'échecs). Dans son livre testament, Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen, Zweig se fait chroniqueur de cet « âge d'or » de l'Europe et analyse ce qu'il considère comme l'échec d'une civilisation.