Stress hydrique (biologie)

Le stress hydrique, ou stress osmotique, est le stress abiotique (c'est-à-dire lié aux conditions physiques du milieu) subi par une plante placée dans un environnement amenant à ce que la quantité d'eau transpirée par la plante soit supérieure à la quantité qu'elle absorbe[1]. Ce stress se rencontre en période de sécheresse du sol ou de l'atmosphère, mais aussi lors de l'augmentation de la salinité du milieu (conduisant à l'abaissement du potentiel osmotique du milieu) ou en période de grand froid.

  1. Emeline FLORES, « Stress Hydrique : 5 techniques utilisées par les agriculteurs », sur Weenat, (consulté le )