Le syndrome de domestication fait référence à un ensemble de traits morphologiques, physiologiques et comportementaux héréditaires présents dans un ensemble d'espèces domestiquées mais absents chez leurs variantes sauvages respectives.
Ce syndrome, pouvant atteindre plantes et animaux, présente une nature phénotypique variable, mais reste considérablement apparent si on considère que les espèces partageant cet ensemble de caractères sont relativement éloignées phylogénétiquement.