Tai-chi-chuan

Tai-chi-chuan
Yang Chengfu dans une posture du tai-chi style Yang, vers 1931.
Yang Chengfu dans une posture du tai-chi style Yang, vers 1931.

Autres noms Tai-chi, taï-chi, t'ai-chi-ch'uan, taiji quan
Forme de combat Formes, light-contact (poussée de main, sans coups), full contact (frappe, coups pieds, etc.)
Pratiquants renommés Chen Changxing, Yang Luchan, Yang Chengfu, Sun Lutang
Sport olympique en démonstration (wushu)

Le taijiquan *
Pays * Drapeau de la République populaire de Chine Chine
Liste Liste représentative
Année d’inscription 2020
* Descriptif officiel UNESCO
Taijitu 太极图 / 太極圖.

Le tai-chi-chuan ou tai chi ou taiji quan[1] (chinois traditionnel : 太極拳 ; pinyin : tàijí quán Écouter ; Wade : t'ai⁴chi²ch'üan² ; cantonais Jyutping : taai³gik⁶kyun⁴ ; cantonais Yale : taaigihkkyùhn ; litt. « boxe du taiji » ou « boxe du faîte suprême », également prononcé en japonais taikyoku ken) est un art martial chinois dit « interne » (neijia) souvent réduit à une gymnastique de santé. Il peut aussi comporter une dimension spirituelle. Il a pour objet le travail de l'énergie appelée chi.

  1. « Taï-chi-chuan » et « taï chi » appartiennent à la langue française selon Le Grand Robert, et se sont répandus vers les années 1980. D'autres variantes de tai chi, dont la transcription pinyin « taiji quan », sont mentionnées dans le Grand dictionnaire terminologique de l'Office québécois de la langue française.