Sortie | |
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Enregistré |
1998–2001 |
Durée | 43:08 |
Genre | Rap East Coast, rap hardcore |
Producteur | Precision, The Alchemist, L.E.S., Trackmasters, Rockwilder, Hill Inc., Alvin West, Deric « D-Dot » Angelettie, Kanye West, Large Professor, Dave Atkinson, Ty Fyffe |
Label | Ill Will, Columbia |
Albums de Nas
Site | Note |
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Metacritic | 81/100[1] |
Périodique | Note |
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AllMusic | [2] |
Robert Christgau | B+[3] |
Entertainment Weekly | A−[4] |
HipHopDX | [5] |
Pitchfork | 6,9/10[6] |
RapReviews | 8,5/10[7] |
Rolling Stone | [8] |
Spin | 8/10[9] |
Sputnikmusic | [10] |
Stylus Magazine | B[11] |
The Lost Tapes est une compilation de Nas, sortie le .
Publiée après son cinquième album studio Stillmatic, elle regroupe des morceaux enregistrés entre 1998 et 2001 mais qui n'ont pas été retenus sur les versions finales de ses albums, certaines auraient dû être sur l'album I Am..., qui à l'origine devait être un double album mais face au piratage de celui-ci, elles ont finalement été retirées. D'autres titres sont des singles underground et des titres enregistrés durant la préparation de l'album Stillmatic.
Étant donné qu'I Am... devait être un album autobiographique, The Lost Tapes contient un certain nombre de morceaux très personnels, comme Poppa Was a Playa, dans lequel Nas raconte ses souvenirs d'enfance concernant son père Olu Dara. Dans la chanson cachée, Fetus, Nas imagine son expérience dans le ventre de sa mère juste avant sa naissance.
Ainsi The Lost Tapes, avec Stillmatic, sont vus comme les albums qui ont permis au rappeur de retrouver sa « street credibility » qu'il semblait avoir perdue depuis quelques années.
The Lost Tapes a reçu un excellent accueil par les critiques, considéré même comme un de ses meilleurs albums à sa sortie, certains le considèrent comme un album à part entière.
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