Causes | Guerre, agression physique, violence sexuelle, violence psychologique, réfugié, combat ou ami ou amie (en) |
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Symptômes | Cauchemar, anxiété, Évitement (psychologie), trouble du sommeil, insomnie et variabilité de la fréquence cardiaque |
Médicament | Tranylcypromine (en), sel de lithium, nefazodone (en), sertraline, paroxétine, carbamazépine, quétiapine, (S)-duloxétine, fluoxétine, aripiprazole, clonazépam, rispéridone, prazosine, lamotrigine, (RS)-citalopram, venlafaxine, alprazolam, topiramate, escitalopram, Cannabis indica, prolonged exposure therapy (en), intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires, méditation transcendantale, thérapie cognitivo-comportementale, thérapie du processus cognitif (en) et trauma focused cognitive behavioral therapy (en) |
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Spécialité | Psychiatrie et psychologie clinique |
CISP-2 | P82 |
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CIM-10 | F43.1 |
CIM-9 | 309.81 |
DiseasesDB | 33846 |
MedlinePlus | 000925 |
eMedicine | 288154 |
MeSH | D013313 |
Patient UK | Post-traumatic-stress-disorder-pro |
Le trouble de stress post-traumatique (ou TSPT) désigne un type de trouble anxieux sévère résultant d'un traumatisme psychique qui se manifeste, chez un individu, à la suite d'une expérience impliquant une confrontation directe et personnelle à la mort potentielle, que ce soit sa propre mort ou celle d'autres personnes[1],[2],[3].
Cette affection est aussi connue sous le nom de syndrome de stress post-traumatique (SSPT) ou état de stress post-traumatique (ESPT)[4] dans la classification CIM10 (F43.1). L'abréviation anglaise PTSD (pour post-traumatic stress disorder) est parfois également utilisée.
Le trouble de stress post-traumatique est une réaction bio-neuro-physiologique consécutive à une situation durant laquelle l'intégrité physique ou psychologique du patient, ou celle de son entourage, a été menacée ou effectivement atteinte (notamment en cas de torture, viol, accident grave, mort violente, maltraitance, négligence de soins de la petite enfance, manipulation, agression, maladie grave, naissance, guerre, attentat, accouchement). Les capacités d'adaptation (comment faire face) du sujet sont débordées. La réaction immédiate à l'événement aura été traduite par une peur intense (effroi), par un sentiment d'impuissance ou par un sentiment d'horreur. La réaction sociale de son entourage après un tel évènement est également un critère important susceptible de provoquer ou d'empêcher l'apparition d'un TSPT.
Le TSPT est moins fréquent que la réponse aiguë au stress[5].